OTTIGNIES LLN – Page 4 – Cédric du Monceau

Louvain-la-Neuve: Quel avenir pour Libris Agora?

La section CDH d’Ottignies-LLN n’entendait pas rester les bras croisés. L’éventuelle fermeture de la librairie Libris Agora, actuellement en vente, est la goutte d’eau qui a fait déborder le vase.

Sous l’impulsion du nouveau président, Michaël Gaux, et la candidate à la vice-présidence, Nadine Fraselle, le premier échevin, Cédric du Monceau, a été convaincu par l’utilité de sensibiliser les promoteurs immobiliers.

« Les loyers sont bien trop élevés à Louvain-la-Neuve , explique-t-il . Il faut pourtant comprendre que, pour des commerces comme des librairies, les rendements sont trop faibles pour pouvoir rester dans le centre-ville. »

Cela risque, à terme, d’entraîner la disparition des commerces à vocation culturelle et artisanale. « Or, il est impensable de voir la librairie Libris Agora quitter la ville , ajoute Michaël Gaux . Elle fait partie de son ADN et c’est la plus grande de Wallonie ! »

Mais plus que cette librairie, c’est l’ensemble du secteur du livre qui est en difficulté dans la commune et même au-delà. Alors, que faire pour convaincre les propriétaires de baisser les prix des loyers ?

« J’exige une politique différentielle en fonction des secteurs » , lance l’échevin, qui n’a toutefois pas encore reçu le soutien de la majorité communale.

Reste encore à savoir comment agir. Aucun plan concret n’a été évoqué par le CDH local. Quelques idées ont tout de même surgi. « On pense notamment à s’inspirer de projets qui se font ailleurs comme l’union entre la cuisine ou la restauration et une librairie » , précise l’échevin.

En attendant, les loyers sont ce qu’ils sont. « S’il le faut, on essayera de montrer plus de poigne à l’égard des propriétaires , explique-t-il ensuite évoquant diverses possibilités . On peut très bien durcir les conditions d’accès à des permis de bâtir ou lancer des taxes, comme celle sur les bâtiments inoccupés qui poussent à réduire les loyers afin de trouver un locataire. »

Comme à l’époque de la fermeture des cinémas UGC, le CDH voudrait aussi mettre en place un réseau de réflexion intégrant tous les acteurs concernés. « On pourra réfléchir à ce qu’on veut vraiment pour l’avenir du livre à Louvain-la-Neuve. » En espérant qu’il ne soit pas trop tard…

Source : https://www.lalibre.be

Leuven fait sa promotion dans un dépliant, Cedric du Monceau se dit surpris

OTTIGNIES-LLN «La ville de Leuven regrette-t-elle le départ des francophones?»

En trouvant dans sa boîte aux lettres le dépliant envoyé par la Ville de Leuven (NDLR: il a aussi été distribué dans d’autres communes de la région), Cedric du Monceau, 1er échevin d’Ottignies-Louvain-la-Neuve s’est dit surpris et interpellé.

«La ville du “ Wallen buiten ”, Leuven regretterait-elle, après plus de 40 ans, le départ des francophones au point de financer avec des deniers publics un dépliant pour leur dire “ en français ” qu’ils sont les bienvenus et qu’il est facile de se garer à “ Leuven ”? À moins que ce soit l’inquiétude face au succès grandissant de Louvain-la-Neuve, en particulier commercialement, qui attire toujours plus de Flamands curieux de découvrir comment ces Wallons (souvent décriés) ont réussi à rebondir et créer une ville nouvelle resplendissante et attirant de nombreuses implantations d’entreprises.»

Quoi qu’il en soit, d’un autre côté, Cedric du Monceau salue cette initiative de «la main tendue» et espère «qu’un jour, une réunification sera possible entre ces deux villes à vocation universitaire et dont les racines plongent loin dans l’histoire de notre région brabançonne. (Et pourquoi pas un jumelage?)»

En attendant, l’échevin invite les Louvanistes à venir faire leurs courses à Louvain-la-Neuve, ville piétonne dont les parkings en plein cœur de ville ne sont pas encore totalement pleins!

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« RER, le Réseau Éternellement Reporté »

Le cdH Brabant wallon a présenté ses vœux à ses sympathisants en la présence du président du parti Benoît Lutgen, vendredi soir à Ottignies.

Cédric du Monceau a accueilli l’assemblée lors des vœux du cdH Brabant wallon qui se sont déroulés à la grange de la ferme du Douaire vendredi soir.

Il a tout d’abord rendu hommage à Jean Sondag avant d’inviter les 27 sections locales du Brabant wallon à se rendre à Louvain-la-Neuve pour inoculer les jeunes de l’UCL.

Philippe Matthis, député provincial, s’est penché sur les comptes de la province. «La province du Brabant wallon a octroyé 6 millions d’euros aux communes. C’est une bonne chose», lance-t-il avant d’indiquer que le collège provincial manquait de vision pour l’avenir. «En 2030, nous accueillerons 21 000 ménages supplémentaires en Brabant wallon. Il fait un plan. Il faut également lutter contre la pauvreté. Le Brabant wallon est la province la plus riche, c’est aussi ici que l’écart entre les personnes les plus riches et les plus pauvres est le plus important», a-t-il lancé.

Casser le lien avec Bruxelles

André Antoine a défini la ville d’Ottignies-Louvain-la-Neuve comme la capitale culturelle, sportive, voire économique du Brabant wallon. «Louvain-la-Neuve est le plus beau projet d’après-guerre. L’année 2015 est particulière, avec les attentats, l’insécurité. Il faut combattre le radicalisme à tous les niveaux de pouvoir, de la commune à l’Europe. Le lien qui nous unit aux citoyens doit être renforcé partout», a encore indiqué le président de la Chambre avant de s’attarder sur le Brabant wallon.

«Le Brabant wallon est régulièrement le dernier servi par le niveau fédéral. On le constate actuellement en matière de justice. Mettre les travaux du RER à l’arrêt serait un scandale. Le RER ne peut pas devenir le Réseau Éternellement Reporté. Nous voulons que l’offre scolaire s’étende dans le Brabant wallon, avec une nouvelle école à Genappe. Jean-Paul Wahl, le président du MR Brabant wallon, a récemment indiqué que certaines communes, notamment Perwez et Ottignies-Louvain-la-Neuve, ne connaissaient pas le bonheur d’avoir le MR au collège communal. Celui qui ne choisit pas le MR n’est pas anormal», a lancé André Antoine.

Benoît Lutgen a remercié Jeanne-Marie-Oleffe, qui vient de quitter la présidence du CPAS d’Ottignies-Louvain-la-Neuve. Le président du cdH a évoqué des sujets plus nationaux avant d’en venir au RER. «Nous voulons poursuivre les travaux du RER, les 70 millions manquants ne sont rien par rapport au budget d’investissement de la SNCB». Benoît Lutgen voit là une manœuvre des indépendantistes du Nord du pays. « Ils veulent casser le lien entre le Brabant wallon et Bruxelles». Benoît Lutgen a aussi annoncé qu’André Antoine allait coordonner l’organisation des listes communales dans le Brabant wallon en vue des élections de 2018».

Source : https://www.lavenir.net

Une étude pour désengorger le centre-ville

Des possibilités de nouvelles voiries sont à l’étude pour soulager Ottignies et Court.

Traverser le centre-ville d’Ottignies est souvent très compliqué en heures de pointe. La faute à une avenue des Combattants (N237) prise d’assaut par des centaines d’automobilistes venant des différents quartiers d’Ottignies mais également de Court-Saint-Etienne, une ville qui connaît aussi pas mal d’embarras de circulation.

D’où l’idée qui germe, depuis quelques années déjà, dans l’esprit de certains de créer une nouvelle voirie qui permettrait de désengorger le centre d’Ottignies en renvoyant directement la circulation vers la E411 ou la N25. Ce qui permettrait d’également soulager le centre de Court-Saint-Etienne. « Nous sommes conscients que la vallée de la Dyle a une géographie contraignante, confie Cédric du Monceau, premier échevin d’Ottignies-LLN. Pour rejoindre l’E411 ou la N25, les habitants de Bousval, Court-Saint-Etienne et Ottignies sont contraints d’emprunter la N237. Idem pour les habitants des plateaux qui n’ont pas d’autre échappatoire, pour rejoindre l’E411, que d’emprunter l’avenue des Combattants. Or, avec l’augmentation de la population, on arrive à saturation. »

L’idée serait aujourd’hui de trouver une solution structurante en amont de Court-Saint-Etienne et en aval d’Ottignies. « Voire également au milieu d’Ottignies », précise Cédric du Monceau. Sont notamment envisagées : une route qui relierait la N275 depuis le virage de Limauges à la N25 à hauteur de l’échangeur de la rue Defalque; une autre qui prolongerait la N275 depuis le rond-point de Court – au croisement avec la N237 – jusqu’à la N25 à Beaurieux; ou encore une voirie qui relierait l’E411 depuis la N275 à hauteur de la rue des Bleuets, à Rixensart.

Autant de projets structurants qui permettraient de délester les centres-villes de Court et Ottignies d’un trafic de transit constitué de plusieurs milliers de véhicules par jour.

Des infrastructures qui dépendent surtout de la bonne volonté des édiles wallons. Mais la volonté de la ville d’Ottignies veut d’avoir son mot à dire. Mardi, le collège soumettra au conseil communal la proposition d’étendre la mission du centre de recherches pour l’action territoriale (Creat) – déjà actif pour concevoir le schéma directeur du centre d’Ottignies – pour mener une étude complémentaire sur les liaisons automobiles potentielles entre l’axe de la Vallée de la Dyle et la RN25. « Nous voulons avoir toutes les cartes en main pour pouvoir faire des propositions concrètes à la Région », confie Cédric du Monceau.

Reste à savoir quand de telles routes pourraient voir le jour. Et lorsque l’on voit la lenteur dans la concrétisation du contournement de Wavre, difficile à croire que ces nouvelles routes pourraient être rapidement créées. « La Région doit avoir les moyens de ses ambitions, insiste Cédric du Monceau. Elle ne peut pas demander au Brabant wallon d’augmenter son attractivité (NDLR : pour les entreprises notamment) aux dépens de la qualité de vie. On ne peut se contenter d’augmenter l’attractivité des gares sans améliorer la mobilité autour. C’est une question de priorité, sachant que tout investissement fait en Brabant wallon est bénéfique pour l’ensemble de la Wallonie. »

Source : https://www.dhnet.be

« Devenir soi », le conseil de du Monceau

Hier, l’échevin Cédric du Monceau s’est fait libraire. Son conseil de lecture: «Devenir soi», d’Attali. But de l’opération: mettre en valeur le petit commerce.

Tandis que le libraire Michel Ramboux discute avec des journalistes, l’échevin du Commerce d’Ottignies-Louvain-la-Neuve Cédric du Monceau (cdH) s’occupe d’un client de la librairie Le Petit Bouquineurinstallé au bas de la chaussée de La Croix. Il lui conseille Flic ou voyou, de Pierre-Bernard Velge. «Il aidait les jeunes délinquants en les emmenant notamment en voyage», détaille-t-il. Hier, le temps d’une matinée, l’élu a troqué son costume d’échevin pour celui de libraire.

Arrivé à 7h35 – la librairie ouvre à 7h30 – avec les croissants, il a accompagné le libraire dans ses tâches journalières. L’échevin était à l’aise, convaincant même une personne de repartir avec Devenir soi, de Jacques Attali. «Son message est alarmiste et enthousiasmant: n’ayant plus rien à attendre de la politique actuelle, les citoyens doivent prendre leur destin en main. Un livre que je conseille à tous les politiques.»

Lors de cette matinée, l’élu a pu se rendre compte du «dur labeur du libraire mais aussi de l’exaltation procurée par les rencontres avec les clients». Et de continuer: «Cette opération a pour but d’attirer l’attention sur le fait que dans notre économie, l’humain est en voie de disparition. On y favorise les grosses structures, les multinationales qui savent assumer les contraintes et charges administratives. Or, il faut favoriser le petit commerce local pourvoyeur d’emplois et de plaisir.»

Comment? Le cdH souhaite notamment supprimer les intérêts notionnels et mettre en place des déductions fiscales qui soutiennent les PME ou encore cibler la diminution des cotisations sociales sur les bas salaires.

Cédric du Monceau souligne qu’il faut faciliter l’accès aux petits commerces en préservant des places de parking limitées à 15 minutes de stationnement. Et le libraire d’ajouter: «Qu’est-ce que veut notre société? Des petits commerces en centre-ville ou des multinationales dans les centres commerciaux? Si on veut des petits commerces, alors il faut qu’ils soient accessibles.»

Enrichi par cette expérience, l’échevin sera aussi reparti avec Eldorado, roman de Laurent Gaudé qui parle d’un capitaine des gardes côtes italiens qui navigue au large de Lampedusa où tentent d’arriver de nombreux migrants…

Source : https://www.lavenir.net

« La Province veut freiner le succès de Louvain-la-Neuve »

Les échevins CDH Cédric du Monceau et Benoît Jacob se disent outrés par la légèreté avec laquelle la Province a proposé de lever un nouvel impôt sur les résidences secondaires, en ce inclus les kots d’étudiants fort nombreux dans leur ville.

Depuis, la Province a fait marche arrière mais les deux échevins se demandent « comment une décision politique aussi importante peut être proposée sans même en analyser son impact, ni interroger l’administration de la ville la plus concernée ». Et d’y voir une volonté à peine déguisée de mettre en difficulté Ottignies-LLN. « Nous sommes vraiment inquiets de la tournure prise depuis les dernières élections par la Province à l’égard de notre ville », s’exclame Cédric du Monceau.

« L’exécutif provincial MR-PS prend des mesures dont la seule visée est d’isoler notre ville. Nous sommes prêts à tendre la main pour une réelle concertation en n’oubliant pas que le rayonnement d’Ottignies-LLN dépasse de loin les frontières de la province… Elle rayonne comme cité universitaire et comme pôle culturel. Qu’est-ce qui a donc pris à la Province de s’attaquer à affaiblir le fragile équilibre des finances d’une ville dont près d’un tiers de la population est non domiciliée ? Quel service comptait apporter la Province pour prétendre à lever une telle taxe ? »

Cédric du Monceau est interloqué par la répétition de mesures anti-ottintoises. « Depuis cette nouvelle législature, le collège provincial a décidé de réduire significativement ses investissements dans le soutien à la culture et au développement du sport de haut niveau de notre ville. En particulier, l’engagement pris d’un soutien de 5 millions d’euros au centre sportif a été supprimé et la Province a retiré son engagement d’être à risque avec la commune à raison de 50-50 dans la rénovation et l’extension du théâtre Jean Vilar,… Bizarres décisions lorsqu’on voit que la Province a décidé d’investir 7 millions d’euros pour une piscine à Wavre. »

L’échevin ottinto-néolouvanis- te ne peut envisager qu’il s’agisse d’une « légèreté de la Province » : « On en déduira que c’est un nouveau coup politique pour tenter de freiner la dynamique de succès d’Ottignies-LLN. C’est déplorable car le politique en ces temps de crise identitaire et économico-sociale doit enthousiasmer et pas diviser. C’est dommage de galvauder ses atouts pour une province qui a énormément d’atouts près de Bruxelles. C’est pourquoi il faut abattre ces fausses murailles. Nous sommes prêts à nous investir dans une grande table ronde pour l’avenir du Brabant wallon ! »

Source : https://www.dhnet.be

L’Europe s’invite à l’Aula Magna

Du 14 au 15 juillet, Louvain-la-Neuve accueillera le conseil informel des ministres de l’Industrie européens, dans le cadre de la présidence belge du Conseil de l’Union européenne. Les réunions se dérouleront à l’Aula Magna. Le ministre Jean-Claude Marcourt présidera la réunion informelle des ministres de l’Industrie, qui devrait s’ouvrir par une allocution de Lakshmi Mittal, chief executive officer d’ArcelorMittal. Du côté de la Ville, on se « réjouit que la ville soit à nouveau l’hôte d’un sommet européen » . Ce n’est en effet pas la première fois. Fin avril 2009, la conférence des ministres européens de l’Education pour faire le point sur la réforme de Bologne avait eu lieu à LLN et déjà à l’Aula Magna. « Et puis c’est génial et symbolique que les ministres de l’Industrie, les représentants de l’industrie, de la recherche soient réunis dans cette ville universitaire avec un fort développement économique et culturel » , estime le bourgmestre faisant fonction Cédric du Monceau.

Ce sont deux cents VIP, dont des ministres en charge de la Compétitivité, de la Recherche et de l’Industrie qui tiendront leurs réunions durant deux jours à Ottignies-LLN. « On prévoit pour 200 personnes, avec théoriquement les 27 ministres. » Pour Cédric du Monceau, la raison pour laquelle l’Europe est de retour à LLN, c’est que « cela c’est bien passé la dernière fois, pour Bologne. Et il y a peu d’endroits à l’extérieur de Bruxelles où ils ont déjà éprouvé la sécurité ». Trois cents étudiants principalement étrangers avaient alors manifesté à LLN, en marge du sommet. Un impressionnant dispositif policier (250 policiers y compris la cavalerie) avait été déployé, sans incidents majeurs. La manifestation n’avait donné lieu qu’à une arrestation administrative. Mais à l’annonce de cette manifestation, LLN s’était mise sur ses gardes. Cette fois, le contexte est différent, constate Cédric du Monceau. « Compte tenu du sujet, je ne vois pas pourquoi il y aurait des perturbations », estime-t-il. Plusieurs réunions de préparations ont cependant eu lieu. Quel sera le nombre de policiers mobilisés ? La police fédérale sera-t-elle présente en appui ? Pour des raisons de sécurité, le bourgmestre ff ne veut pas le préciser. « Toutes les mesures de sécurité sont prises, en coopération avec les différents services », se contente-t-il de dire. « Des mesures seront prises, mais elles n’empêcheront pas la ville de fonctionner, elle ne sera pas paralysée. Il y a déjà des événements qui se profilent par rapport au festival d’été. La ville a beaucoup d’activités en été, et le sommet n’en est qu’une « Quoi qu’il en soit, pour le public, les abords de l’Aula (dont la passerelle qui relie le centre urbain au lac, ainsi que le parking voisin) ne seront pas accessibles. Pour rejoindre le lac, les habitants seront invités à emprunter les rue/place Montesquieu et rue Basse. Notons enfin qu’il n’y aura pas de cérémonie officielle de la part de la Ville, la chancellerie étant celle qui reçoit officiellement, mais vu le thème des réunions, Cédric du Monceau espère pouvoir trouver un moyen afin de mettre en évidence l’une ou l’autre entreprise de la ville.

Source : https://www.lalibre.be