Un auditorium Yves et Rainy du Monceau

Un auditorium Yves et Rainy du Monceau

Le musée L a inauguré l’Auditorium Yveset Rainy du Monceau de Bergendael, en présence de Marc Eyskens, ministre d’État.

L’auditorium aménagé au sein du musée L porte désormais le nom d’Yves et Rayni du Monceau de Bergendal, son épouse. L’auditorium a été inauguré dimanche matin en présence du ministre d’état, Marc Eyskens qui, alors qu’il était premier ministre a proclamé la scission de l’UCL, en 1968. Anne Querinjean, directrice du musée, a rappelé l’attachement du Comte Yves du Monceau de Bergendal au musée de Louvain-la-Neuve, devenu le musée L: «Nous sommes réunis ce matin pour célébrer ce qu’Yves du Monceau a fait pour Louvain-la-Neuve et son développement extraordinaire, entre autres culturel, souligne Anne Querinjean. Yves du Monceau était un grand ami du musée. Nous lui exprimons aujourd’hui notre gratitude pour le mécénat reçu par le musée.»

Un hommage a été rendu à Yves du Monceau par son fils, Cédric. Il s’est chargé de rappeler à l’assistance que feu son père a constamment œuvré pour le développement d’Ottignies: «Alors que les usines disparaissaient, il a œuvré pour donner un souffle nouveau à la commune en matière de logements sociaux, d’écoles communales et privées, le bois des Rêves, le bois de Lauzelle et la venue de l’UCL à Ottignies. Il appréciait le lac de Louvain-la-Neuve où il allait se promener avec son épouse. Il aurait voulu que le musée s’installe au bord du lac. C’était un bâtisseur. Pourquoi était-il tant attaché au musée? Parce que c’est là que la civilisation fait mémoire. Un musée est un inventaire du savoir, il donne la dimension du temps», lance Cédric du Monceau.

Marc Eyskens est ami de la famille du Monceau: «Les prémices du Walen Buiten, on les trouve dès le 8 novembre 1962, date de la fixation de la frontière linguistique qui délimitait des régions linguistiques distinctes. Le mandement des Evêques du 13 mai 1966 prônait une université unitaire, en acceptant des décentralisations. On était dans une période d’immenses mouvements de contestations dans beaucoup de pays, d’où les mouvements à Leuven».

Une fois la scission décidée, Marc Eyskens est devenu président du conseil d’administration commun KUL-UCL: «Le partage n’a pas été simple à réaliser en matière d’art, à part pour les bibliothèques. À l’époque, nous avions sous-estimé l’expansion du nombre d’étudiants, passés de 15 000 en 1968 à près de 80 000 aujourd’hui aussi la percée de l’Anglais. Je suis toujours président de ce conseil, il existe toujours mais ne se réunit plus».

Françoise Hiraux, archiviste à l’UCL, a dressé une rétrospective sur le contexte de l’époque à Ottignies, qui, on le sait, allait devenir Ottignies-Louvain-la-Neuve.

Source : https://www.lavenir.net

Louvain-la-Neuve: Yves du Monceau, le «mélioriste»

Louvain-la-Neuve: Yves du Monceau, le «mélioriste»

 

Source : https://www.lesoir.be

La place des Wallons en chantier dès février 2019

La place des Wallons en chantier dès février 2019

Source : https://www.dhnet.be

Le cdH veut des communes women friendly

Le cdH veut des communes women friendly

Plusieurs femmes du cdH se sont rassemblées devant la gare d’Ottignies, ce jeudi matin, afin de partager leurs recommandations.

Pour la journée internationale des droits de la femme, Claire Stappaerts s’est rendue, ce jeudi matin, à la gare d’Ottignies pour y distribuer des flyers… et des sifflets, en compagnie d’autres femmes du cdH. L’objectif? Attirer l’attention sur leur insécurité. «Cette action du 8 mars, elle termine une année de sensibilisation où nous avons travaillé sur la thématique des violences faites aux femmes. On a organisé plusieurs événements pour aujourd’hui aboutir à des recommandations en matière de lutte contre les violences faites aux femmes. Nous voulons renforcer la prévention, la prise en charge et la protection des femmes, mais aussi la répression. L’action des sifflets est bien entendu symbolique»,explique-t-elle.

À quelques mois des élections, elles appellent «les communes à se déclarer women friendly et à s’engager pour améliorer la situation des femmes.»

Un échevinat de l’égalité femmes-hommes?

Selon les humanistes, il faudrait consacrer un échevinat à l’égalité femmes-hommes et accorder une attention spécifique à la problématique des femmes rentrantes sur le marché de l’emploi. Et ce n’est pas tout. «Si le nombre de places d’accueil de la petite enfance était adapté, cela permettrait aux femmes de concilier vie de famille et engagements professionnels.»

Les Humanistes demandent également d’augmenter la sécurité des femmes dans l’espace public et de mettre en place une politique de la mobilité adaptée. «Les chauffeurs de bus devraient être autorisés à marquer un arrêt supplémentaire entre deux stations pour rapprocher les femmes de chez elles, en toute sécurité, dès qu’il fait nuit, comme c’est le cas en Suède ou au Canada,» détaillent-elles dans un communiqué. Elles affirment que des sanctions administratives sont aussi nécessaires pour lutter contre le sexisme et le harcèlement de rue.

Féministe, engagée dans plusieurs associations, Claire Stappaerts voulait à tout prix participer à cette matinée de sensibilisation à Ottignies. «Cette journée internationale des droits de la femme permet d’augmenter la visibilité. Mais il ne s’agit que d’une action. Notre combat, nous le menons tout au long de l’année!»

André Antoine, président du Parlement de Wallonie, Benoît Thoreau, président du cdH Brabant wallon, Cédric du Monceau, échevin cdH à Ottignies-Louvain-la-Neuve et Étienne Struyff, chef de cabinet du premier cité, se sont également rendus sur place pour soutenir les femmes dans leur démarche de sensibilisation.

Source : https://www.lavenir.net

La gare d’Ottignies sur le modèle de celle des Guillemins ?

La gare d’Ottignies sur le modèle de celle des Guillemins ?

La gare d’Ottignies doit subir un lifting dans le futur. Pour orienter leurs démarches, Cédric du Monceau et Benoît Jacob se sont rendus à Liège.

La nouvelle gare de Liège-Guillemins, inaugurée en septembre 2009, a été complètement rénovée pour un montant de 437 millions d’euros. Pour s’inspirer des démarches entreprises par les autorités liégeoises avec la SNCB, Cédric du Monceau, échevin ottintois de l’Urbanisme, accompagné de son acolyte Benoît Jacob ainsi que d’un représentant de la section locale de la liste citoyenne «Avenir», représentée par Michel Tilleut, se sont rendus samedi à Liège pour y rencontrer Michel Firket (cdH), échevin liégeois en charge du tourisme, de la mobilité et du patrimoine. «Nous voulions comprendre les améliorations essentielles en matière d’urbanisme et de mobilité à inclure dans le projet de la gare d’Ottignies. Notre objectif était de nous informer sur les améliorations indispensables au rôle que pourrait jouer la gare d’Ottignies, en tant que pôle de développement régional et d’intégration dans la ville. Nous voulions demander à l’échevin Michel Firket ce à quoi nous devrons être attentifs, comment engager en relation efficace avec cette grosse institution que représente la SNCB», explique Cédric du Monceau.

Nouvelle passerelle avec ascenseurs

Le permis délivré il y a six mois, la SNCB va le mettre en œuvre pour améliorer la mobilité dans et autour de la gare ainsi que les accès aux quais. «La passerelle piétonne actuelle sera détruite et entièrement reconstruite. Actuellement, elle ne donne pas accès au parking. La future passerelle le permettra et sera équipée de deux ascenseurs pour enfin répondre aux besoins des usagers à mobilité réduite. Elle reliera les deux côtés des voies ferrées, souligne Cédric du Monceau. En plus de la percée du tunnel piétonnier inférieur déjà réalisé vers l’avenue des Villas, un escalier supplémentaire sera construit sur le quai n°1 afin de désengorger l’accès existant

Il convient également de réfléchir aux accès à la gare et aux parkings, complètement saturés, y compris le parking sauvage autorisé par la Ville à l’avenue Delvaux. «Celui-ci sera appelé à disparaître à terme. Nous sommes en discussion avec la SNCB pour revoir le parking des Droits de l’Homme. La gare des bus est devenue exiguë. Actuellement, les bus vont se “reposer” avenue de Masaya entre deux trajets. Nous ne souhaitons pas autant d’investissement qu’à Liège, rigolent Cédric du Monceau et Benoît Jacob. Nous espérons que la gare d’Ottignies, qui est la principale gare de Wallonie, et ses alentours puissent devenir un lieu d’accueil et une vitrine du développement durable de la région wallonne. Ils lancent un appel à cet effet aux autorités régionales et fédérales

Source : https://www.lavenir.net

Louvain-la-Neuve: Nouvelle étape importante pour la liaison Park & Ride et la E411 !

Louvain-la-Neuve: Nouvelle étape importante pour la liaison Park & Ride et la E411 !

Source : https://www.dhnet.be

Ottignies-LLN candidate pour être «Commune du commerce équitable»

Ottignies-LLN candidate pour être «Commune du commerce équitable»

Lors du conseil communal du 17 octobre, les élus ont voté la candidature de la Ville au titre de «Commune du commerce équitable».

La Ville d’Ottignies-Louvain-la-Neuve recevra-t-elle le titre honorifique de «Commune du commerce équitable»? C’est l’intention des conseillers communaux qui ont voté à l’unanimité l’engagement de la Ville de s’inscrire dans cette campagne d’Oxfam-Magasins du Monde. «La première étape est l’adoption par le conseil communal d’une résolution en faveur du commerce équitable. Nous devons ensuite mener une campagne de sensibilisation, avoir un comité de pilotage, qui soit ancré dans le conseil consultatif du commerce mais cela peut être plus large», explique Cédric du Monceau, l’échevin du Commerce.

Seule Nivelles a le titre

Par leur vote, les conseillers communaux engagent l’administration communale à consommer du café, et au moins un autre produit, équitable. Ce qui est déjà le cas. Des commerces et établissements horeca du territoire communal doivent proposer deux produits du commerce équitable à leur clientèle. Les entreprises, institutions, associations et écoles doivent consommer des produits équitables et sensibiliser les travailleurs et élèves au commerce équitable.

«Nous devons aussi soutenir une initiative en faveur de la consommation de produits agricoles locaux et durables. Nous avons actuellement trois commerces engagés dans le bio sur la commune», poursuit Cédric du Monceau.

Cette campagne n’est pas neuve. La première commune à obtenir le titre est Bruxelles, c’était en 2006! Mi-2017, 26 communes de la Fédération Wallonie-Bruxelles étaient reconnues «Communes du commerce équitable». Nivelles figuraient parmi celles-ci.

Aujourd’hui, Ottignies-Louvain-la-Neuve mais aussi Beauvechain, Rixensart, Genappe et Ittre ont déposé leur candidature.

Source : https://www.lavenir.net

« À Wavre, on accepte tout et n’importe quoi ! »

« À Wavre, on accepte tout et n’importe quoi ! »

Source : https://www.dhnet.be

Sur le réaménagement du site Philips (Wavre): «Exigeons une consultation populaire»

Sur le réaménagement du site Philips (Wavre): «Exigeons une consultation populaire»

En juin, une demande de permis pour réaménager le site l’ancienne usine Philips, le long de la N238, en face de Walibi, a été introduite auprès de la Ville de Wavre.

La société SA BVI.BE, promotrice du projet, voudrait démolir les bâtiments actuels pour en faire un espace de 35 000 mètres carrés pouvant accueillir une ou plusieurs PME, avec notamment 9 000 mètres carrés destinés à des surfaces commerciales.

Le cdH wavrien, dans l’opposition au conseil communal, a déjà fait part de ses inquiétudes. C’est désormais au tour de Cédric du Monceau (cdH), échevin de l’Urbanisme et du Commerce de la Ville d’Ottignies-Louvain-la-Neuve, de tirer la sonnette d’alarme. Il estime ce projet aberrant, «d’autant plus quand on se souvient de l’opposition de la Ville de Wavre au projet d’extension de L’esplanade (NDLR: Wavre avait vu son recours en annulation du permis socio-économique rejeté par le Conseil d’État, en juillet 2016). En créant ce centre commercial dans un zoning, Wavre va encore plus mettre en difficulté les commerces de son centre-ville. Cela ne sera pas bon non plus pour les commerces du centre d’Ottignies, de Court-Saint-Étienne et de l’ensemble de la vallée de la Dyle».

L’échevin poursuit ensuite en s’étonnant de la non-réaction de certains acteurs. «Comment se fait-il qu’on n’entend pas ceux-là même qui se sont opposés à l’extension du centre commercial de Louvain-la-Neuve? J’appelle donc les commerçants d’Ottignies, de Louvain-la-Neuve et de Wavre à se mobiliser et demande à la plateforme citoyenne d’être logique et d’exiger aussi une consultation populaire à Wavre. L’UCM doit aussi s’opposer à ce centre commercial, comme il l’a fait pour celui de Louvain-la-Neuve.»

«Wavre se disperse»

Le collège communal d’Ottignies-Louvain-la-Neuve a donc décidé de remettre un avis défavorable à ce projet de réaménagement. Pour rappel, l’enquête publique s’est achevée le 30 juin.

Et Cédric du Monceau de fustiger la stratégie d’aménagement du territoire du collège wavrien. «Le contraste de la stratégie d’aménagement du territoire entre Ottignies-Louvain-la-Neuve et Wavre est flagrant, estime-t-il. Nous cherchons à concentrer les activités commerciales dans le centre-ville. À Wavre, on assiste à une dispersion et un étalement des activités commerciales, ce qui vide l’attractivité de son centre. J’appelle à une autre vision, moins opportuniste et plus centrée sur la mise en place d’une stratégie d’aménagement du territoire qui cherche à réduire l’empreinte écologique, comme le préconise le SDER (schéma de développement de l’espace régional).»

Source : https://www.lavenir.net

RER: «Non, non, rien n’a changé», clame le cdH

RER: «Non, non, rien n’a changé», clame le cdH

Malgré l’arrivée au fédéral de François Bellot (MR) au portefeuille de la Mobilité, rien n’a changé en ce qui concerne le RER, regrette le cdH.

Le cdH du Brabant wallon estime que, malgré l’arrivée du nouveau ministre de la Mobilité François Bellot (MR), rien n’a changé en ce qui concerne le dossier du RER en Brabant wallon. C’est le constat qu’ont dressé vendredi à La Hulpe Philippe Matthis, Cédric du Monceau et Benoît Thoreau.

«On perçoit bien que dès son arrivée le ministre a eu pour mission d’éteindre les incendies allumés et entretenus par Jacqueline Galant (MR), indique Philippe Matthis. Ses déclarations ont été très nettes: oui le gouvernement achèvera le RER, oui la mise à 4 voies des lignes 124 et 161 sera réalisée. Le ministre propose de réaliser à l’horizon 2024 la mise à 4 voies du tronçon Watermael-Bakenbos pour 123 millions, des améliorations mineures dans les gares de La Hulpe, Genval, Rixensart et Profondsart pour 100 000€, une rénovation partielle de la gare d’Ottignies et une mise à 4 voies de la bifurcation vers LLN pour 1,6 million à court terme mais 30 millions à l’horizon 2024. Pour le reste, et donc la finalisation complète du RER, c’est le flou, aucune date n’est avancée. 558 millions ont déjà été investis sur la ligne 161. Les travaux en nécessitent encore 277. Le ministre propose d’investir 153 millions en huit ans. Mais quid du solde de 124 millions? La finalisation complète, c’est pour quand?»

Le cdH se demande aussi pourquoi on privilégie une mise à quatre voies du tronçon Watermael-Bakenbos et non Watermael-La Hulpe. «Nous pensons que les travaux de mise à quatre voies programmés à l’horizon 2024 s’arrêteront à Bakenbos, pile sur la frontière linguistique, alors que l’assiette des voies 3 et 4 se poursuit pourtant au-delà de Bakenbos sur 1,5 km et jusqu’à proximité de La Hulpe.»

Pour le cdH, il y a derrière ça un impératif politique: dans l’accord de coopération entre État et Régions (plan pluriannuel d’investissements de la SNCB pour 2001 à 2013), «les négociateurs flamands avaient obtenu que le financement des parties flamandes du RER sur les lignes 124 et 161 soit extrait de la clé de répartition 60/40. Pour nous, il est inacceptable de s’enfermer dans une vision purement linguistique du dossier! Le risque est énorme que la partie wallonne du RER ne soit jamais réalisée!»

Le cdH propose un autre échéancier: mise à 4 voies du tronçon Ottignies-Genval, pose de la 3e voie sur le tronçon Genval-La Hulpe, réalisation de l’assiette pour la voie 4 du tronçon Genval-La Hulpe et mise à 4 voies de ce tronçon, et enfin mise à quatre voies du tronçon La Hulpe-Watermael. «Il faut aussi désigner des experts indépendants pour trouver des solutions pour réduire les délais, sortir de la clé 60/40 pour les travaux côté wallon – ou alors étendre la durée d’application de cette clé afin qu’elle porte sur 5 ans – et financer les travaux via un grand emprunt auprès de la Banque européenne d’investissements», juge Philippe Matthis.

Source : https://www.lavenir.net